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Après le succès des Chats vus par Bruno Masure, voici Les Chevaux vus par Hugues Aufray : le témoignage d'un homme qui a développé, depuis l'enfance, une parfaite connaissance du monde équestre sous toutes ses formes et qui a toujours mené de front ses deux passions, la musique et les chevaux.On ne présente plus le chanteur, l'auteur d'un nombre incalculable de succès qui ont été sur toutes les lèvres, celui qui a fait connaître l'œuvre de Bob Dylan en France et qui a, plus récemment, remis au goût du jour les chansons de Félix Leclerc. Celui qu'on connaît peut-être moins, c'est l'excellent cavalier, grand amoureux et connaisseur du cheval. À 11 ans, gaucher et dyslexique, Hugues Aufray a du mal à s'intégrer à l'école. Une rencontre avec un professeur d'équitation, qui décèle très vite en lui un don inné, va changer sa vie. Ses premiers succès en équitation traditionnelle lui redonnent confiance en lui et, du coup, lui ouvrent les portes du monde scolaire. " Ma reconnaissance envers le cheval est née de cette expérience et n'a fait que se confirmer depuis " dit-il. Un instant, il rêve de devenir écuyer du Cadre Noir de Saumur." Mais pour devenir cavalier professionnel à cette époque-là, il fallait être fils d'éleveur, gosse de riche ou militaire... " C'est la chanson qui lui ouvrira les portes du succès et, en 1967, il peut s'offrir son premier cheval, un étalon camarguais. Depuis, il s'est passionné pour les courses d'endurance, les " long distance riding " – en 1987, il a même créé une épreuve originale sur 350 km, " La Route des Mousquetaires ", il a monté une compagnie équestre, organisé des stages d'équitation pour les enfants, imaginé et participé à des spectacles, en particulier avec son ami le grand dresseur et cascadeur Mario Luraschi... À 79 ans, l'éternel jeune homme en jeans et santiags a conservé sa passion intacte : " Rapidement, j'ai compris que, contrairement aux coutumes de notre temps, il n'y avait pas de barrière entre les disciplines équestres, les races de chevaux et les traditions où on les enfermait. Pur-sang, trotteurs, camarguais, andalours, barbes, mais bien sûr aussi tous les vaillants chevaux de trait, tous ont à mes yeux la même valeur. "